Vous êtes la seconde génération de Fallen Wolves, vous devez prendre la suite et réparer les erreurs de vos parents, ainsi s'offre à vous une raison de vivre.
♦ 17/06/16 ▬ Lancement de l'Event n°1 ♦ 13/05/16 ▬ Ouverture du forum. ♦ 22/04/16 ▬ Codage du forum terminé. ♦ 01/01/16 ▬ Création du forum.
Lentement, l'Aube s'est levée sur les Terres d'Ilistrad, le lendemain de la Fin du monde est tellement calme par rapport aux carnages perpétrés quelques heures plus tôt, rien n'aurait su présager ce qu'il s'est passé... Maintenant, c'est à vous de prendre la suite et ainsi perpétrer l'héritage laissé par vos parents. Mais en serez-vous seulement capable ? C'est à vous de tracer votre voie et nous prouver que leur sacrifice n'aura pas été vain.
Le terrier des loups de la Plume de Sang est habillement caché par un amoncellement de rochers plus ou moins volumineux, pour beaucoup glissants et traîtres, rendus ainsi par un éboulement qui a partiellement détruit l'entrée. La planque est difficile à trouver, certes, mais aussi très compliquée à protéger contre l'envahisseur. Le terrain particulièrement accidenté ne permet qu'une vue très limitée.
L'aurore. Le ciel qui se teinte des premières lueurs du jour, et la montagne qui se détache étrangement, éternel écrin où le soleil s'abîme parfois, entouré des nuages cotonneux. Là-bas, le temps s'arrête. Tout est plus beau, même pour ces sanguinaires qui s'arrêtent pour observer ce spectacle. La chaîne de montagnes s'élève gracieusement, plus haute que toute les autres et surtout à l'attrait impardonnable.
Le paysage désertique. Le soleil brûlant, décorant les plaines à perte de vue d'une végétation cramée. Les herbes hautes y sont dorées, épineuses et souvent hérissées d'épines douloureuses. Les tiges sèches ne constituent qu'une maigre nourriture pour les cervidés qui ne s'y aventurent pas, ou rarement. Les principaux habitants sont les renards qui se vouent une lutte sans merci, défendent leurs territoires minuscules et leurs mômes de l'année, et les oiseaux qui s'y arrêtent quelques temps après les longues migrations qui coûtent cher en énergie.
Les roches rougeoyantes. Le sable poreux qui se promène librement, porté par quelques vents jusqu'aux gueules béantes. Les ossements s'amoncellent douloureusement sur les pistes façonnées par quelques mystères naturels, créant des édifices géants où serpentent quelques décors incompréhensibles qui dévorent les parois rocheuses. C'est à croire que Mère Nature a fait du Canyon sa prodigieuse toile, traçant de larges sillons avec la ferveur d'un artiste grièvement touché.